J'ai encore peine à croire au départ de Marie-Pierre, même si nous y étions préparés depuis quelques semaines... Avec mes collègues de la fondation, nous l'avons accompagnée tout au long de son parcours dans la maladie et tenté, bien modestement, de lui remonter le moral et de la faire rire un peu... Nous avons tous beaucoup pensé à elle ces derniers mois. A présent nous pensons à sa famille, à son fils, à sa petite fille, à sa maman... Que chacun reçoive l'expression de notre profonde sympathie en ce moment si difficile.
Pour ma part je garde aussi dans le coeur le souvenir d'un amour partagé avec Marie Pierre pour les chevaux, amour qui nous a particulièrement liées ces derniers mois.