Germaine BRÉCHEUX

Toutes mes pensées vous accompagnent dans ces moments difficiles. Je vous souhaite beaucoup de courage.

J'adresse à toute la famille mes plus sincères condoléances en ces moments difficiles.
Que vos souvenirs avec Mme Brecheux puissent apaiser votre peine actuelle.

Toutes nos pensées vous accompagnent dans ces moments difficiles.
Beaucoup de courage à vous !

Chers tous,
Le décès de votre maman est une terrible nouvelle, je vous présente mes sincères et profondes condoléances.
Je partage votre tristesse et tiens à vous témoigner mon soutien.
Votre maman repose maintenant en paix mais elle continuera à garder une place spéciale dans votre cœur, à illuminer votre vie et à veiller sur vous.
A chacune de mes visites pour retrouver ma précieuse amie Élisabeth, j'avais à coeur d'échanger avec Germaine qui était toujours accueillante et bienveillante, chaleureuse et coquette. Nos petits bavardages étaient de beaux moments de partage.
Je garde également en mémoire un séjour dans la maison des grands-parents et des vacances à Saint-Palais-sur-Mer. Ce sont des souvenirs inoubliables qui mettent du baume au coeur.
Mes douces pensées vous accompagneront lors de la cérémonie religieuse et de l'inhumation.
Je vous embrasse affectueusement
Céline

Chère Germaine,

La disparition de Laurent nous a plongées dans une même souffrance : perdre un enfant adulte. Aujourd'hui, je suis, en quelque sorte, privée, d'une coéquipière ! Ma peine est intense.

Chère famille Brécheux, de loin, je pense à vous, m'associe à vous dans le souvenir précieux de la figure courageuse et rayonnante de votre Maman et Grand-maman.

Je vous embrasse, Nicole

A toi Germaine ;
avec toi, j'ai souvenir de ce petit moment gracieux, où nous sommes partis promener au bord du port de Guilvinec.
Nous nous sommes attardés autour d'une table rouillée par le sel, au centre d'une terrasse d'un petit café de pécheur un peu grossier.
Le silence n'a jamais pu s'imposer.
Merci pour ce petit moment de vie unique, qui a cette heure, devient un souvenir absolu.
Que les vents t’emmènent là où tu le souhaites.

francois wiart

Bonjour Mamine,

Je pense à toi et beaucoup de souvenirs me reviennent. J'adorais jouer au ping-pong sur la terrasse et les apéros du soir. Un jour tu as fait des andouillettes, ouf!, j'ai pas trop aimé et j'ai encore le gout en bouche. J'ai pris mes premiers grands bains chez toi. J'avais un peu peur de dormir dans la chambre aux poupées. Le meilleur, c'était le petit-déjeuner avec la petite table en bois devant scoubidou.
J'aimais bien aller en ville avec toi, visiter le magasin de jouets et allumer des bougies dans la grande église.

Au revoir Mamine

Gaspard Wiart-Brecheux