Germaine DEY

Que de bons moments passés ensemble, que ce soit à Lyon ou à Château...nous les garderons en mémoire et ne pourrons jamais les oublier.
Les balades à pied dans Château, les parties de Scrabble, les boutiques à Cluny, les bons petits repas improvisés du samedi soir, la sortie à Cerdon où le coffre de la voiture à Raymond était bien rempli au retour, la foire de Lyon où on s'est tous fait avoir sur le lave vitres...mémorable, sans oublier le déménagement de Lyon à Château pour meubler le petit appartement...que de souvenirs...
Maimaine tu as rejoint Raymond.
Reposez en paix tous les 2.

Maimaine
Tu étais une femme qui a vécu à 100 à l'heure, il fallait que "ça dépote", il ne fallait pas rester les 2 pieds dans le même sabot ... comme tu disais.
Quand tu étais encore au volant de ta voiture, ça roulait vite (quand on te disait "Maimaine, tu roules trop vite, tu nous répondais, ma voiture a 4 roues, elles sont faites pour").
On gardera en mémoire nos petits repas du soir avant ou après des heures de jeux (belote, rummikub chiffres et le scrabble).
On reparlera de toi pour faire vivre nos souvenirs
Repose en paix Maimaine.
Michel et Anne Marie

M'aimaientune femme libre avec un parlé vrai franc, débordante d énergie..une femme hors norme ...!!!

Pour parler souvenir, j'en ai un terrible en déception pour toi maimaine , c'est le jour de mon mariage en 1988. Ce jour là vous aviez 2 mariages, alors Raymond est parti sur l'autre et toi au notre mais en arrivant le portail du château de St Jean le priche était fermé et ne sachant pas qu'il fallait faire le tour tu es rentré chez toi à chateau . Tu m'as dit que tu avais pleuré toute la nuit.

Très affligé par cette terrible nouvelle, j'ai peine à trouver les mots justes. Soyez certains que je me joins à votre entière douleur. Recevez mes sincères condoléances.

Maimaine était une femme moderne, libre, sensible, aimante...elle a fait partie intégrante de ma vie, m'a suivi en tant qu'étudiante, puis maman...elle a aimé mes filles...je la considérais comme ma deuxième maman, elle me considérait comme sa fille...nous avions un contrat "moral" : elle devait arriver à 100 ans et je devais l'aider pour cela...l'accompagner jusqu'au bout...tu vas terriblement me manquer Maimaine...

De Maimaine si je devais ressortir des souvenirs j'en ai au moins deux très ancrés dans ma mémoire.
L'odeur du cuir qui flottait dans les ateliers Charles befieux ou elle dirigeait d'une main de maître l'atelier de façonnage de veste et blouson en cuir dans le fabuleux quartier des grattes ciels de Villeurbanne.
L'autre quant au volant de sa 404 en.roulant assez vite elle rêvait d'avoir des gros pare-chocs en caoutchouc comme les autotamponneuses pour pouvoir tamponner les autres voitures qui ne roulait pas à son rythme.
Paix à son âme et maintenant elle est au côtés de son Raymond